Selon des chercheurs américains de « The Lancet », avoir un but ou un passe-temps dans la vie peut accroître le taux de survie de 20% Ces données confirment l’importance de rester actif en vieillissant et de maintenir des activités et des relations sociales qui permettent de vivre plus longtemps.
Ainsi, selon cette étude, si la santé a une influence sur le bien-être (1) (on est moins susceptible de déprimer si on n’est pas malade), la réciproque est également vraie : le bien-être a également un effet sur la santé et donc sur la survie !
Pour les auteurs, il y a des enseignements importants à tirer de ces résultats : pour vivre plus longtemps, il faut faire du bien-être des personnes âgées un objectif politique et social important !
(1) pour les chercheurs de l’University College de Londres, de l’Université de Princeton et de l’Université Stony Brook (US), il y a 3 façons d’envisager le bien-être. Le bien-être perçu ou la satisfaction de la vie, le sentiment de bonheur et le bien-être qui consiste à avoir un sens à sa vie. Ces chercheurs présentent une analyse des modèles possibles d’évolution du bien-être en fonction de l’âge et de l’association entre le bien-être et le fait de vivre plus longtemps chez les personnes âgées.